De passage dernièrement au musée des Confluences de Lyon, j’ai pu aller voir l’expo L’oiseau rare, de l’hirondelle au kakapo. J’ai d’ailleurs fait plusieurs des expositions temporaires du moment, mais je vous parle rapidement de celle là car elle se termine tout bientôt !
L’oiseau rare, de l’hirondelle au kakapo : ode à la diversité
Préparez-vous à voir des oiseaux dans cette exposition, des rares, des disparus mais aussi des plus communs qui sont aussi à protéger. De toutes tailles, de toutes formes, de toutes les couleurs… C’est un régal pour les yeux de pouvoir admirer au plus près l’extrême diversité de la nature. Bien entendu, L’oiseau rare, de l’hirondelle au kakapo s’attarde avant tout sur la nécessaire protection des oiseaux, dont de larges familles sont décimées par les modes de vie actuels.
Cette exposition temporaire touche à sa fin (plus que quelques jours pour en profiter), mais elle met en avant une partie de la très riche collection de volatiles du musée des confluences, la deuxième plus importante de France. Les 240 spécimens exposés proviennent notamment d’une grande donation faite par Hubert Bonnetain en 2018 (6000 spécimens quand même). Si vous n’avez pas le temps de visiter cette exposition d’ici la fin de l’année, vous pourrez donc retrouver ces petits zozios plus tard dans la galerie permanente à coup sûr !
Une exposition instructive !
Tout l’intérêt de cette petite exposition L’oiseau rare, de l’hirondelle au kakapo, c’est qu’elle propose une plongée plus concrète sur l’univers des oiseaux. En quelques panneaux explicatifs simples, on en apprend vraiment plus sur ces animaux qu’on connaît finalement relativement peu. J’aurais vraiment bien aimé y faire un tour avec mes enfants, c’est clairement le genre qui leur aurait beaucoup plu.
De mon côté, j’ai direct aimé. Imaginez donc : une entrée qui symbolise des plumes de toutes les couleurs. Déjà, j’adore. Ensuite, je rentre et je vois quoi ? Un squelette de dinosaure, plus précisément un allosaure. Ok, je suis conquise. Et j’ai appris tellement de choses ! Mais LE truc que je vais garder en tête, et clairement l’information que je vais ressortir souvent… C’est que les oiseaux ont le cui-cui régional ! Et oui, les oiseaux ont des accents… J’étais bluffée, tout simplement messieurs-mesdames.
L’expo L’oiseau rare, de l’hirondelle au kakapo est visible au premier étage du musée des Confluences jusqu’au 31 décembre.
Qui a écrit cet article ?
Le nez dans les bouquins, le cœur dans les musées, les jambes à l'assaut du patrimoine et l'esprit en voyage ! Je partage avec vous mes découvertes culturelles du moment, diverses et variées, sans prise de tête. Éclectisme, je crie ton nom !
Serial blogueuse, retrouvez moi aussi sur mes blogs famille & lifestyle, Famille en chantier et Line&Color
2 comments
D’ailleurs, dans le Sud-ouest, les oiseaux disent “cuicuilatine” et pas “cuicuiauchocolat” comme les pigeons parisiens
C’est exactement ça !!!