Lors de ma dernière visite chez ma grand-mère, je suis repartie avec tout un tas de bouquins, de tous genres (quand je vous disais dans mon TAG que j’aimais emprunter des livres 😉 ). Parmi ceux-là, il y avait L’enfant du Titanic, de Leah Flemming. Oui, j’étais ado quand le film est sorti à la fin des années 1990, et j’ai donc eu ma période « Titanic » (ma période Leonardo Dicaprio aussi, off course). J’ai dévoré pas mal de livres sur le sujet, notamment des romans un peu bluettes, à base d’amours contrariés et de jeunesse fougueuse. Mais celui-là de Leah Flemming, je ne le connaissais pas, donc je l’ai embarqué !
Je vous déjà le sous-titre de L’enfant du Titanic : « 15 avril 1912 : naufrage du Titanic ; 2 femmes 2 destins liés à jamais ». Voilà, tout est dit, vous avez l’ambiance du bouquin 😉 L’ouvrage s’ouvre tout de suite sur l’embarquement sur le Titanic, et rapidement sur le récit du naufrage. On y découvre une femme de première classe, Céleste, une Anglaise qui rejoint son mari et son fils aux Etats-Unis. Les circonstances du naufrage lui font rencontrer May, passagère de troisième classe, qui voyageait avec son époux et sa petite fille et qui survit à ce désastre en emportant avec elle un lourd secret… L’enfant du Titanic suit donc les destins liés de ces deux femmes : on découvre leurs familles et leurs amis, on avance avec elles tout au long de leur vie, on avance de rebondissements en rebondissements dans l’Histoire du XXème siècle.
Comme souvent avec ce genre de livres, on est face à une histoire plutôt bien ficelée , qui se lit rapidement, avec son lot de rebondissements aux hasards incroyables et peu crédibles. Après, comme souvent encore… elle ne m’a pas marqué. Non que j’ai quoi que ce soit de précis à reprocher à L’enfant du Titanic, mais juste rien ne m’a vraiment accroché. L’intrigue est intéressante, mais je suis restée en surface des personnages. Seule la personnalité de May m’a un peu interpellé, mais finalement cela tourne court et je suis restée en dehors de l’émotion que ce type de livre est supposé susciter. Trop mièvre en fait du coup. J’imagine que je me suis sentie un peu flouée par le titre en fait : le Titanic n’est que le prétexte de départ, et reste ensuite un vague lien, trop vague à mon goût même si on suitquelques détails intéressants sur le capitaine John Smith. Bref, une lecture que je ne recommande pas particulièrement !
Deuxième participation pour le mois de juillet du challenge « un pavé par mois » de Bianca de Des livres, des livres ! avec L’enfant du Titanic qui fait 616 pages. L’été est propice à la lecture de pavé 😉
Vous avez lu L’enfant du Titanic, ou d’autres romans de Leah Fleming ?
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Le nez dans les bouquins, le cœur dans les musées, les jambes à l'assaut du patrimoine et l'esprit en voyage ! Je partage avec vous mes découvertes culturelles du moment, diverses et variées, sans prise de tête. Éclectisme, je crie ton nom !
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2 comments
Dommage qu’il ne t’ai pas plu, c’est vrai que le Titanic n’est que le point de départ mais moi j’avais bien aimé cette histoire
Je ne savais pas que tu l’avais lu, je file lire ta critique ! 🙂