De retour pour la suite de La saga des 7 sœurs ! Très vite après le premier tome à propos de Maia, j’ai enchainé avec La sœur de la tempête. Verdict pour ce deuxième tome ?
Ally, la deuxième sœur
Après Maia, c’est désormais Alcyone – surnommée Ally – qu’on va suivre. Ally, la deuxième, la talentueuse, passionnée par la musique et la mer. C’est Pa Salt qui l’a initié aux plaisirs de la navigation. Et seulement quelques jours après avoir appris le décès de son père, elle doit participer à une régate. Heureusement, elle peut compter sur le soutien d’un nouvel homme, récemment entré dans sa vie.
Après un temps (un peu long) de tergiversations, Ally part elle aussi sur les traces de son adoption laissées par son père. Et c’est en Norvège que ses pas vont la mener. Oui, car bien sûr, Ally est une rousse au teint clair là où Maia était brune à la peau dorée et leurs caractères sont opposés : on n’a à mon avis pas fini avec les portraits de sœurs qui n’ont rien à voir entre elles 😉 Elle se retrouve à en découvrir plus sur une mystérieuse jeune chanteuse, Anna Landvik, voix fantôme de la pièce de théâtre Peer Grynt à la fin du XIXème siècle.
La sœur de la tempête : pareil mais différent !
On retrouve dans ce deuxième opus tous les ingrédients qui m’avaient fait lire rapidement le premier : une écriture simple, une sœur à la recherche de ses origines, une plongée dans un passé artistique passionnant. Ce qui m’a bien plu dans La soeur de la tempête, c’est que si certes on est toujours dans le même mode de fonctionnement et beaucoup (trop) de bons sentiments autour de l’histoire d’Ally, Lucinda Riley a choisi de “casser” assez vite une des histoires débutantes. Et sans trop vous dévoiler l’intrigue, je dois dire que ça a pour moi été un choix judicieux, car j’avais peur de me perdre dans la mièvrerie. Et pas tant que ça.
Mais une nouvelle fois, ce sont les références historiques qui m’ont plu, bien plus que l’histoire d’Ally. J’ai pu croire à un moment que je serai moins séduite par l’histoire parallèle, le monde du théâtre et de la musique m’étant moins familier que celui de la sculpture évoquée dans La saga des 7 sœurs : Maia. Mais que nenni ! J’ai beaucoup aimé la manière dont Lucinda Riley décrit ce microcosme artistique et ses difficultés. Il y a une vraie atmosphère qui se dégage, de même avec l’évocation un peu cliché mais prenante de la Norvège. Ça m’a donné envie d’y aller 😉
Vous avez lu également La sœur de la tempête ?
La question maintenant : est-ce que j’enchaine directement sur La sœur de l’ombre ou je fais une petite pause ? 😉
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